Vivre découplé ou débandé. Syn. célibater, ourser. En plus triste : soliter. — ” Que sont mes amis devenus “, se complaignait Constance, solitudinant dans un Paris moite et nostalgique.
4 commentaires sur “SOLITUDINER“
Stephanie
elle aurait même pu solitudiner si son studio avait été plus grand.
David
j’agrée : solitudiner s’impose. 1) Ca chante : “Je solitudine” ou encore “c’est plus fort que moi, quand je solitudine, je dine”. 2) Ca fait italien (ou espagnol, enfin un truc latin). Un bémol : ça donne un air guilleret à la solitude, ce qui n’est pas toujours le cas, mais ce bémol ne demande qu’à être bécaré.
Stephanie
merci David. A propos, pourrait on diéséler, bémoler ou bécarrir (2 r, merci)? Et puisque j’étais en 2 roues tantôt, peut on aussi bécaner? Ce serait un peu comme rouler à 2 roues avec la clope au bec et sans casque… Sinon, ce soir, nous pourrions Zonguer de conserve…
David
Je réfute la notion de zongage, qui me semble contrevenir à notree charte encore non écrite mais bien comprise (pour cette raison, du reste, je refuse aussi alainsouchonner). Bécaner me plaît assez, car portant une connotation vieille France assez plaisante. Bémoler a un inconvénient : il ne se démarque guère d’un verbe déjà existant : nuancer. Quant à diéséler, il ne peut tenir : on dirait “diéser” mais surtout, comment le placer dans une phrase et être compris ?
Stephanie
elle aurait même pu solitudiner si son studio avait été plus grand.
David
j’agrée : solitudiner s’impose. 1) Ca chante : “Je solitudine” ou encore “c’est plus fort que moi, quand je solitudine, je dine”. 2) Ca fait italien (ou espagnol, enfin un truc latin). Un bémol : ça donne un air guilleret à la solitude, ce qui n’est pas toujours le cas, mais ce bémol ne demande qu’à être bécaré.
Stephanie
merci David. A propos, pourrait on diéséler, bémoler ou bécarrir (2 r, merci)? Et puisque j’étais en 2 roues tantôt, peut on aussi bécaner? Ce serait un peu comme rouler à 2 roues avec la clope au bec et sans casque… Sinon, ce soir, nous pourrions Zonguer de conserve…
David
Je réfute la notion de zongage, qui me semble contrevenir à notree charte encore non écrite mais bien comprise (pour cette raison, du reste, je refuse aussi alainsouchonner). Bécaner me plaît assez, car portant une connotation vieille France assez plaisante. Bémoler a un inconvénient : il ne se démarque guère d’un verbe déjà existant : nuancer. Quant à diéséler, il ne peut tenir : on dirait “diéser” mais surtout, comment le placer dans une phrase et être compris ?