AISER

Sur sa joue, de sa lèvre enfantine, une moue. Elle arrangeait les plats, près de moi pour m’aiser. Puis, comme ça, – bien sûr pour avoir un baiser – tout bas : “Sens donc… j’ai pris froid sur la joue…” Arthur RIMBAUD

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.