Faire peu de cas de sa propre intimité (ou de celle des autres). — Même en doudoune ou en imperméable, elle n’y pouvait rien : elle impudait.
5 commentaires sur “IMPUDER“
David
alors là ! La quintessence du verbisme !
Niko
Ben, moi j’ai rien compris… Ni le mot, ni la définition… Faut peut-être que je me contente du ti Robert…;)
Koketry dite Pamela
Impuder, je crois que ça veut dire que même avec un sac à patate, la fille elle sent le cul en fait tu vois.. son côté pas pudique, elle a beau essayer de le camoufler sous du damart, des polaires et des chemises de grand mère en pilou, y a rien à faire, elle impude!
Enfin je crois?!
arno
Impuder relationne-t-il à impudeur ou à impudence ? L’impudeur tombe sous le sens dans l’exemple, mais étant commise en toute connaissance de cause, elle frise l’impudence. Il vaut mieux en pudibonderire.
David
pudibonderire, je réfute illico : construction trop alambiquée simplement déstinée à faire un bon mot. Quant à impuder, le débat me semble intéressant. Je propose donc deux verbes. 1) Impuder, dans le sens “d’impudence”. Exemple : Constance répondait du tac ou tac, sur un ton condescendant : elle impudait. 2) Impudir, dans le sens d’impudeur. Exempe : à force de pouffier, d’opuler et de faire turgescer les jeunes gens, Constance impudissait.
David
alors là ! La quintessence du verbisme !
Niko
Ben, moi j’ai rien compris… Ni le mot, ni la définition… Faut peut-être que je me contente du ti Robert…;)
Koketry dite Pamela
Impuder, je crois que ça veut dire que même avec un sac à patate, la fille elle sent le cul en fait tu vois.. son côté pas pudique, elle a beau essayer de le camoufler sous du damart, des polaires et des chemises de grand mère en pilou, y a rien à faire, elle impude!
Enfin je crois?!
arno
Impuder relationne-t-il à impudeur ou à impudence ? L’impudeur tombe sous le sens dans l’exemple, mais étant commise en toute connaissance de cause, elle frise l’impudence. Il vaut mieux en pudibonderire.
David
pudibonderire, je réfute illico : construction trop alambiquée simplement déstinée à faire un bon mot. Quant à impuder, le débat me semble intéressant. Je propose donc deux verbes. 1) Impuder, dans le sens “d’impudence”. Exemple : Constance répondait du tac ou tac, sur un ton condescendant : elle impudait. 2) Impudir, dans le sens d’impudeur. Exempe : à force de pouffier, d’opuler et de faire turgescer les jeunes gens, Constance impudissait.